Voici l'état initial du train avant...

Pour le train avant, le travail semble plus simple : démontage complet, brossage, decapage, nettoyage, mise en peinture des différents organes.

Sauf que pour la première opération (remplacement de rotule de suspension), ça devient vite compliqué : il faut soit changer le bras de suspension ( d'où l'expression ça coute un bras !), soit trouver une ame charitable qui dispose d'une presse 30t. En fait d'ame charitable, mon garage Peugeot auquel je viens de laisser un pure note pour une pompe de DA, se fend de ce geste commercial ! Sauf que je ne vais pas lui amener le train complet : aussi, il me faut démonter le bras de suspension à l'aire d'une clé Allen (ça s'écrit comment çà ?) de 9. J'ai bien du 8, du 10, mais du 9 : je n'ai pas... et personne n'en a, à part sur commande ! Ca part fort. Bref à l'aide d'une clé de 8 et d'une cale, je réussi la dépose et le groupe PSA vient au secours de VW (une fois n'est pas coutume !) Voilà la rotule changée et le bras remonté.
La suite se présente sous forme d'un joyeux concert de meuleuse, perceuse, souflette, ... pour remettre "à neuf" les pièces du train. Voici les portes fusée : une des deux est décapée. Reconnaitrez-vous laquelle ?

Les souflets de rotules de direction sont morts : Mecatech fait un magnifique kit de rotules - c'est bien fait la société de conso quand même...
Le corps du train est repeint :

Le remontage va pouvoir commencer...

Voiloù une partie plus intéressante : la bebête retrouve un peu de mécanique. Peu à peu les cartons commencent à se vider. Verin, amortisseurs, rotules neuves, tringlerie, remontage, réglage, blocage... et le train avant arrive à un remontage complet : plus que deux roues à monter et j'aurais une belle brouette : les cornes arrières font de belles poignées , non ?

Allez hop : passons au train arrière !
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